Combien faut-il de temps pour tirer le bilan de cette mesure ? 1 an, 10 ans, 100 ans ?
Soyons sérieux et réalistes : le bon sens nous dit qu'ils sont inutiles et inefficaces. Tous les éléments de ce dossier le confirment.
Ne laissons pas nos enfants souffrir car c'est une maltraitance que nous leur infligeons !
Il y a beaucoup à lire dans cet article y compris de nombreuses études scientifiques consacrées aux masques. Pour ceux qui veulent avoir une vue d'ensemble dans un temps le plus court possible nous avons fait un résumé avec ces quelques courtes vidéos. Voici la première : vidéo
Cette infirmière explique très bien la situation... (Pour les vidéos du blog cliquez deux fois sur Play.)
Cette analyse des germes contenus dans un masque qui a été porté quelques heures devrait donner à réfléchir ! Vidéo
Cette nouvelle analyse faite par l'équipe du film Hold on trouve des structures vivantes qui se répliquent rapidement !
Si vous ne devez regarder qu'une des études scientifiques de cet article celle-ci a l'avantage de montrer par une image modélisée ce qui se passe lors de la respiration d'un humain lorsqu'il est masqué. Les choses sont tout de suite très parlantes !
Extrait : Les masques chirurgicaux et faits à la main et les écrans faciaux génèrent plusieurs jets de fuite, y compris des jets intenses vers l'arrière et vers le bas qui peuvent présenter des dangers majeurs. Leur efficacité vers l'extérieur n'est pas établie.
Notre référence est la Suède : elle n'a jamais confiné ni fermé les écoles ni imposé le port du masque ni à l'intérieur ni à l'extérieur ! Cette enquête de France 24 en Suède prouve que cela est possible et indispensable d'autant plus que le présentateur se trompe sur le nombre de morts covid en Suède car il est de 15% inférieur au notre par million d'habitant (voir notre article).
1/ C’est pourtant indiqué sur la boite !
2/ Les dangers et conséquences sur la santé du port du masque.
3/ Les enfants ne sont pas ou très peu transmetteurs de la covid-19 aux adultes !
4/ Du point de vue juridique.
5/ Que recommande l’OMS ?
6/ Les études scientifiques qui démontrent l’inefficacité du masque.
7/ Conclusion
8/ Les recommandations de l’OMS (version intégrale).
2/ Les dangers et conséquences sur la santé du port du masque.
3/ Les enfants ne sont pas ou très peu transmetteurs de la covid-19 aux adultes !
4/ Du point de vue juridique.
5/ Que recommande l’OMS ?
6/ Les études scientifiques qui démontrent l’inefficacité du masque.
7/ Conclusion
8/ Les recommandations de l’OMS (version intégrale).
1/ C’est pourtant indiqué sur la boite !
Le gouvernement au sujet des masques a dit une chose en début d’année et exactement son contraire un peu plus tard : il a affirmé pendant plusieurs mois que pour lutter contre le virus le port du masque dans la population générale (vidéo) était inefficace et pouvait même être contreproductif (poser des nouveaux problèmes sanitaires) puis depuis la fin de la 1ère vague le port du masque est devenu non seulement obligatoire pour les adultes mais également pour les enfants à partir de 6 ans !
Les autorités n’ont donné aucune explication concernant ce revirement à 180° : c’est comme ça et pas autrement, ne cherchez pas à comprendre…
Les citoyens qui n'ont pas cherché de réponse dans les médias alternatifs (internet) ont gentiment conclu que ces mensonges étaient dus au manque de masques…
Cette conclusion n’est-elle pas un peu trop courte quand on sait que le port du masque peut compromettre notre santé et encore plus celle des enfants ?
Pour changer d’avis et nous obliger à nous bâillonner le visage les autorités se sont-elles appuyées sur de nouveaux faits scientifiques ?
La réponse est non : aucune nouvelle étude sérieuse n’est venue disqualifier les nombreuses études (tous les liens vers les études un peu plus loin) qui existaient déjà et qui concluent toutes que le port du masque n’a aucun effet sur la contamination des affections respiratoires !...
Est-il raisonnable de croire aveuglément des dirigeants qui semblent ne pas connaître leur sujet et qui nous obligent à porter des masques dont les fabricants eux-mêmes indiquent en toutes lettres sur leurs boîtes d’emballage que leurs masques ne sont pas efficaces contre le covid-19 ?
Comment se fait-il que la majorité des gens pensent qu’ils sont efficaces alors que le fabricant lui-même dit que non ?
Non seulement ils ne sont pas efficaces mais ils peuvent entraîner des maladies voire la mort (voir 2ème image) !
D’autres choses très suspectes se sont produites comme l’interdiction faite aux médecins de soigner (à part avec du doliprane) ou comme l’interdiction de la chloroquine qui s’est produite justement au début de l’épidémie !
Forts de ces constats : n’est-il pas de notre devoir en tant que citoyens et parents qui sommes les garants de la santé de nos enfants d’avoir d’autres sources d’informations, notamment sur Internet et d’y trouver de nombreux collectifs de médecins et de scientifiques qui ont été contraints de créer un comité scientifique indépendant ! Par exemple : “ Bon sens ” ou “ réinfo covid ” ou coordination santé libre, ils n’ont pas de conflits d'intérêts avec big pharma et ils délivrent une information basée sur la science et pas sur la politique.
Vous trouverez la totalité des nombreux risques dans la première étude scientifique qui figure dans le chapitre 6 un peu plus bas dans cet article. En voici une sélection soit qui ne figurent pas dans la liste, soit pour lesquels il a été trouvé des éléments complémentaires :
Conclusion de l’article : le prix que l'on est en train de leur (et donc de nous) faire payer est sans commune mesure avec la létalité de ce virus. Il en va de mon éthique professionnelle d'alerter sur les conséquences dramatiques d'une telle poursuite des mesures de port du masque chez les enfants. Qui ne dit rien consent, et je ne consens pas.
C/ Humiliation et maltraitance qui sont contraires à la loi.
Une étude menée par trois universités américaines (Northwestern University–Chicago, University of Michigan–Ann Arbor, et University of Wisconsin–Madison) publiée en 2019 dans la revue Nature sustainability [1] a montré que la présence de dioxyde de carbone dans l’air que nous respirons peut avoir des conséquences importantes et nocives sur notre santé.
La nocivité des valeurs de CO2 sous les masques est avérée et dangereuse. L’article
Extrait :
1/ Vous respirez à nouveau votre propre air expiré ! (cela signifie que vous avez plus de dioxyde de carbone dans votre sang);
2/ Vous consommez moins d’oxygène que d’habitude ! (l’oxygène est essentiel pour toutes les fonctions vitales du corps);
3/ Vos poumons ne sont plus « ventilés » comme ils le devraient ! (cela favorise les maladies pulmonaires);
4/ Si le masque a été porté pendant plus d’une demi-heure, il est contaminé par des bactéries;
5/ Le masque ne peut retenir les « virus » (empêcher les virus de passer à travers).
Ce sont les adultes qui peuvent les contaminer, ils n’ont peu ou pas de symptômes en cas d’infection et une mortalité nulle : le masque n’a donc encore une fois aucune justification ! Vidéo.
“ Il apparaît sur quelques cas d’infection détectés chez les écoliers avant la fermeture des écoles que les enfants n’ont transmis l’infection ni aux élèves, ni aux enseignants et ni aux autres personnels des établissements scolaires.”
“ La proportion d’infection est très élevée (61.0%) chez les parents d’enfants infectés, alors qu’elle n’est que de 6.9% chez les parents d’enfants non infectés. Ceci permet de penser que les parents ont été la source de l’infection de leurs enfants dans de nombreux cas.”
“ C’est le cas de l’Angleterre, d’après un rapport de l’organisme Public Health England publié en août dernier : des clusters ont été détectés dans seulement 0,01% des établissements scolaires, et le point de départ était adulte dans 4 cas sur 5.
Le décret 2020-1310 du 29/10/20, article 36, partie II, 2ème et 5ème points dit : les enfants de six ans ou plus accueillis en application du II de l’article 32 doivent porter des masques. Ce décret entre en opposition morale avec le règlement type départemental des écoles maternelles et élémentaires publiques, circulaire 2014-088 du 09/07/14, partie 2.1 il est clairement stipulé que les élèves ne doivent pas subir de mauvais traitements, ni de châtiments corporels ni d’humiliations ce qui est le cas avec le masque au point du vue physique et psychologique, il est humiliant car contre la nature humaine. Dans ce bulletin officiel, il est également indiqué que le directeur d’école ne peut pas refuser l’accès à l’école d’un enfant entre 6 ans et 11 ans. (Courrier de réintégration des enfants pour les chefs d’établissement ici).
Le masque doit être installé sur nos voies respiratoires quelles que soient nos activités : Travailler, faire du sport, parler et même respirer avec un masque est gênant et constitue une atteinte à nos libertés essentielles.
Or, le droit administratif nous dit qu’une atteinte à nos libertés essentielles doit être justifiée (preuve d’efficacité), limitée et proportionnée, ce qui n’est pas le cas !
(lettre de Maître Brusa au chef de l'État sur ce lien).
L'obligation du port du masque est illégale du fait qu'aucune étude scientifique qui prouve l'efficacité de la mesure n'a été produite par le gouvernement.
Conformément à la convention des droits de l’enfant du 20/11/89 que la France a ratifiée le 07/08/90 le règlement intérieur de l’établissement scolaire doit indiquer que tout traitement humiliant est strictement interdit ainsi que toute atteinte corporelle, ce qui est le cas avec le port du masque.
Pour rappel aucun foyer de contamination n’a été constaté là où il y avait des enfants, même avant l’obligation du port du masque faite aux collégiens. Les scientifiques s’accordent à dire que les enfants ne sont pas en situation de risque par rapport au virus ni transmetteurs vers les adultes.
Ni l’article 36 du décret ni le protocole sanitaire associé ne prévoit de sanction en cas de non port du masque et donc pas d’amende possible. Ce protocole n’a aucune valeur de droit.
Par ailleurs, des sanctions importantes sont prévues par le droit général pour les parents ou pour toute personne représentant l’autorité commettant des actes de maltraitance sur les enfants de moins de 15 ans.
Plainte au pénal de Maître Brusa - Réaction19 - contre l'obligation du port du masque, PDF de 60 pages très documenté :
Maîtres Manna & Philippot dans cette vidéo indiquent :
Le conseil d’état a indiqué que les collégiens et les lycéens (qui sera valable pour les 6 ans et plus) ne sont pas tenus au port du masque en extérieur, c'est-à-dire pendant une activité physique ou du sport et pendant les récréations qui se déroulent à l'extérieur.
L’OMS a revu deux fois ses lignes directrices provisoires concernant le port du masque.
Pas de changement significatif en Août 2020 :
Par ailleurs, l’OMS n’a jamais recommandé non plus qu’il fallait privilégier tel ou tel masque, elle a même fait une recommandation selon laquelle les masques en tissu n’étaient pas moins efficaces même contre les nouveaux variants, ce qui est pour le moins cocasse puisqu’elle n’a jamais conclut à l’efficacité des masques quels qu’ils soient ! Lien
L’étude Danoise qui date de Novembre 2020 porte sur un essai contrôlé randomisé de 6000 personnes, voici sa conclusion :
Le PDF de Denis Rancourt : “ Masks don't work “ dans lequel on trouve les liens vers 7 études scientifiques qui démontrent l'inefficacité des masques.
Extrait des conclusions :
Les résultats de 11 études cliniques
La conclusion est qu'aucune de ces études depuis 10 ans ne prouve l'efficacité des masques face à un virus.
Xiao, J et al. (2020) « Mesures non pharmaceutiques en cas de pandémie de grippe dans des contextes autres que ceux des soins de santé – Mesures de protection personnelle et environnementale », Emerg Infect Dis. 5 mai 2020;26(5):967-975 : « les résultats des essais contrôlés randomisés de ces mesures de protection (hygiène des mains et masques faciaux) n’ont pas permis de conclure à un effet substantiel sur la transmission de la grippe confirmée en laboratoire. De même, nous avons trouvé des preuves limitées de l’efficacité d’une meilleure hygiène et d’un meilleur nettoyage de l’environnement ».
Rancourt, DG (2020) « Les masques ne marchent pas : un examen de la science en rapport avec la politique sociale autour de la COVID-19 », ResearchGate, 11 avril 2020 (review).
Long, Y et al (2020) « Efficacité des respirateurs N95 par rapport aux masques chirurgicaux contre la grippe : une revue systématique et une méta-analyse », J Evid Based Med. 2020 ; 1 – 9 : « Aucune différence statistiquement significative n’a été constatée dans la prévention de la grippe confirmée en laboratoire, des infections virales respiratoires confirmées en laboratoire, des infections respiratoires confirmées en laboratoire et des maladies de type grippal en utilisant des respirateurs N95 et des masques chirurgicaux. »
Bartoszko, JJ et al (2020) « Masques médicaux vs respirateurs N95 pour prévenir la COVID19 chez les travailleurs de la santé : une revue systématique et une méta-analyse des essais Randomisés », Influenza Other Respir Viruses, 2020;14(4):365-373 : « Par rapport aux respirateurs N︎95 ︎, l’utilisation de masques médicaux n’a pas augmenté les infections respiratoires virales confirmées en laboratoire (y compris les coronavirus) ou les maladies respiratoires cliniques ».
Offeddu, V et al (2017) « Efficacité des masques et des respirateurs contre les infections respiratoires chez les travailleurs de la santé : Un examen systématique et méta- analyse », Clinical Infectious Diseases, Volume 65, Issue 11, 1er Décembre 2017, Pages 1934-1942 : « L’évaluation auto-déclarée des résultats cliniques était sujette à des biais. La preuve d’un effet protecteur des masques ou des respirateurs contre une infection respiratoire vérifiée ︎IRM︎ n’était pas statistiquement significative ».
Smith, JD et al (2016) « Efficacité des respirateurs N95 par rapport aux masques chirurgicaux dans la protection des travailleurs de la santé contre les infections respiratoires aiguës : revue systématique et méta-analyse », CMAJ, Mar 2016, cmaj.150835 : « Nous avons identifié 6 études cliniques … Dans la méta-analyse des études cliniques, nous n’avons pas trouvé de différence significative entre les respirateurs N︎︎95 et les masques chirurgicaux en ce qui concerne le risque associé ︎(a)︎ d’infection respiratoire confirmée en laboratoire, (︎b)︎ de maladie de type grippal, ou (︎c)︎ d’absentéisme au travail déclaré ».
Bin-Reza, F et al (2012) « L’utilisation de masques et de respirateurs pour prévenir la transmission de la grippe : une revue systématique des preuves scientifiques », Influenza and Other Respiratory Viruses 6(4), 257-267 : « Il y a eu 17 études admissibles. … Aucune de ces études n’a établi de relation concluante entre l’utilisation de masques et de respirateurs et la protection contre l’infection grippale ».
Cowling, B et al (2010) « Masques faciaux pour prévenir la transmission du virus de la grippe : une étude systématique », Epidemiology and Infection, 138(4), 449-456: « Aucune des études examinées n’a démontré un bénéfice du port d’un masque, que ce soit dans le cadre du travail de santé ou dans la communauté membres des ménages (H). Voir les tableaux récapitulatifs ».
Jacobs, JL et autres (2009) « Utilisation de masques chirurgicaux pour réduire l’incidence du rhume chez les professionnels de la santé (HCW) au Japon : Un essai contrôlé randomisé », American Journal of Infection Control, Volume 37, Issue 5, 417 – 419 : « Les travailleurs de la santé masqués N︎︎95 étaient significativement plus susceptibles d’avoir des maux de tête. Il n’a pas été démontré que l’utilisation de masques faciaux chez les HCW présentait des avantages en termes de symptômes du rhume ou de prise de froid ».
Dr Pascal Sacré, diplômé en médecine en Belgique depuis 1995, a entamé une spécialité en anesthésie réanimation en 1997, terminée en 2002 et complétée par une spécialisation en soins intensifs en 2003. Il travaille en milieu hospitalier depuis cette date. Pour ce praticien, l’air, une fois expiré, est réchauffé, humidifié et chargé de CO︎, devient un milieu de culture parfait pour les agents infectieux (bactéries, champignons, virus). Des études ont montré que la porosité (trous microscopiques) des masques permet aux germes expirés de s’accumuler sur leur face externe. Non seulement l’individu réinspire le CO2, mais en plus, en touchant tout le temps le masque (geste inévitable), les germes se diffusent.
Cette étude démontre que le masque n'est pas efficace contre un virus de la taille du covid-19. Extrait : Les masques chirurgicaux et faits à la main et les écrans faciaux génèrent plusieurs jets de fuite, y compris des jets intenses vers l'arrière et vers le bas qui peuvent présenter des dangers majeurs. Leur efficacité vers l'extérieur n'est pas établie.
Vidéo de Denis Rancourt et du Dr Foucher : " selon 14 études scientifiques le masque ne sert à rien contre les affections respiratoires "
Vidéo interview du Pr Rancourt sur les masques.
Professeur Dolores Cahill : les dangers des masques, vidéo
Études et publications des professionnels de santé ou scientifiques concernant le port du masque dans ce document.
Manifeste des médecins "laissons les médecins prescrire"
COVID-19 en 10 points indiscutables, par le collectif laissons les médecins prescrire.
Existe-t-il des études scientifiques qui démontrent l’efficacité du masque ?
France info :
Voici le titre de l’article : une étude scientifique prouve l'efficacité des masques
À Hong-Kong, des chercheurs ont publié les résultats de leurs travaux réalisés sur des hamsters. Leurs conclusions démontrent que le port du masque est efficace.
Vous avez bien lu : des travaux réalisés sur des hamsters !!!
Une étude scientifique doit réaliser ses travaux sur des humains en condition réelle ou proche du réel non ?
Secondo, un masque a été placé entre deux cages de hamsters : on est loin d’un port de masque par un humain dont les fuites d’air se produisent à travers le masque mais surtout sur tous les côtés (voir la vraie étude scientifique étude n° 6/F)
Québec Science propose plusieurs études sous le titre : Efficacité du masque: ce que disent les récentes études.
Une méta analyse publiée sur le Lancet dont les résultats sont difficilement compréhensibles. Par ailleurs, le Lancet a publié l’étude dont tout le monde s’est accordé à dire qu’elle était frauduleuse sur la chloroquine, il est donc disqualifié...
INSPQ dont la conclusion dit : il manque de données scientifiques fiables pour juger de l’efficacité ou de l'inefficacité du couvre-visage dans la population générale.
Des économistes de l’Université Simon Fraser ont diffusé un article dans lequel ils comparent 34 régions sanitaires de l’Ontario : rien à voir avec une étude scientifique et pourtant le titre de l’article de Québec science est catégorique, il évoque des études (sous entendu scientifiques) !
Efficace ou pas ? Pour prouver l’utilité de cette mesure comme on le fait de l’usage d’un médicament, il faudrait créer des groupes en "double aveugle", numériquement équilibrés, or ceci n’a jamais été fait et ne pourra jamais se faire…
En fait, le bon sens devrait suffire à trancher cette question : les masques sont largement portés par la population en France depuis Mai 2020, si cette mesure était efficace la preuve de son efficacité aurait dû être constatée en deux ou trois semaines grand maximum, y compris sur les fameux variants : il n’y aurait plus que de très rares cas de malades covid-19 !
C’est la preuve par l’observation…
Ce premier graphique montre que l’obligation du port du masque a été faite au moment où les nouveaux cas étaient au plus bas et que cette mesure n’a pas permis d’enrayer l’augmentation du nombre de cas !
Le deuxième graphique démontre que les pays qui ont obligé au port du masque ont de moins bons résultats que ceux qui ne l’ont pas fait, c’est une deuxième preuve qu'à minima les masques ne fonctionnent pas !
Par ailleurs, devant le très grand nombre de risques à le porter pendant de longues durées la balance bénéfices/risques est très défavorable au port du masque !
Les autorités ne peuvent pas ignorer tout cela, si elles continuent de brimer la population et les enfants sans raison, il paraît évident qu’elles ont un objectif qui n’est pas celui qui est annoncé, nous devrions par conséquent réagir et cesser d’obéir à des consignes qui sont par ailleurs illégales d'autant plus que pour la rentrée 2021 on nous annonce que les enfants devront le porter même pendant le sport ! Ces dirigeants sont devenus fous…
Les autorités n’ont donné aucune explication concernant ce revirement à 180° : c’est comme ça et pas autrement, ne cherchez pas à comprendre…
Les citoyens qui n'ont pas cherché de réponse dans les médias alternatifs (internet) ont gentiment conclu que ces mensonges étaient dus au manque de masques…
Pour changer d’avis et nous obliger à nous bâillonner le visage les autorités se sont-elles appuyées sur de nouveaux faits scientifiques ?
La réponse est non : aucune nouvelle étude sérieuse n’est venue disqualifier les nombreuses études (tous les liens vers les études un peu plus loin) qui existaient déjà et qui concluent toutes que le port du masque n’a aucun effet sur la contamination des affections respiratoires !...
Est-il raisonnable de croire aveuglément des dirigeants qui semblent ne pas connaître leur sujet et qui nous obligent à porter des masques dont les fabricants eux-mêmes indiquent en toutes lettres sur leurs boîtes d’emballage que leurs masques ne sont pas efficaces contre le covid-19 ?
Comment se fait-il que la majorité des gens pensent qu’ils sont efficaces alors que le fabricant lui-même dit que non ?
D’autres choses très suspectes se sont produites comme l’interdiction faite aux médecins de soigner (à part avec du doliprane) ou comme l’interdiction de la chloroquine qui s’est produite justement au début de l’épidémie !
Forts de ces constats : n’est-il pas de notre devoir en tant que citoyens et parents qui sommes les garants de la santé de nos enfants d’avoir d’autres sources d’informations, notamment sur Internet et d’y trouver de nombreux collectifs de médecins et de scientifiques qui ont été contraints de créer un comité scientifique indépendant ! Par exemple : “ Bon sens ” ou “ réinfo covid ” ou coordination santé libre, ils n’ont pas de conflits d'intérêts avec big pharma et ils délivrent une information basée sur la science et pas sur la politique.
2/ Les dangers et conséquences sur la santé du port du masque.
A/ Difficultés dans l’apprentissage des enfants.
C/ Humiliation et maltraitance qui sont contraires à la loi.
D/ Réaction cancérigène lors de la respiration à cause du Toluène, du formaldéhyde et des nanoparticules pour les masques chirurgicaux, et du graphène pour les FFP2 .
Extrait : "La particularité des nanoparticules, c'est que ce sont des particules extrêmement fines. Elles sont tellement petites qu'elles vont passer toutes les barrières physiologiques de votre organisme pour se loger au cœur des cellules. Et par exemple, les nanoparticules de dioxyde de titane qu'on retrouve dans nos masques. En fait, elles sont considérées comme cancérogènes à l'inhalation". L'article.
E/ Limitation d’apport d’oxygène (hypoxie) pouvant générer de graves répercussions sur la santé et sur le développement du cerveau.
F/ Auto-empoisonnement à notre propre CO2 qui faut-il le rappeler à forte dose est mortel.
La nocivité des valeurs de CO2 sous les masques est avérée et dangereuse. L’article
Extrait :
Un expert autrichien assermenté par un tribunal a prouvé que les valeurs de CO2 sous les masques faciaux dépassent apparemment même les valeurs limites légalement autorisées et sont donc susceptibles d’être nocives pour la santé.
Il en résulte un excès de 10 à 20 fois les valeurs autorisées.
1/ Vous respirez à nouveau votre propre air expiré ! (cela signifie que vous avez plus de dioxyde de carbone dans votre sang);
2/ Vous consommez moins d’oxygène que d’habitude ! (l’oxygène est essentiel pour toutes les fonctions vitales du corps);
3/ Vos poumons ne sont plus « ventilés » comme ils le devraient ! (cela favorise les maladies pulmonaires);
4/ Si le masque a été porté pendant plus d’une demi-heure, il est contaminé par des bactéries;
5/ Le masque ne peut retenir les « virus » (empêcher les virus de passer à travers).
G/ Le film HOLD ON présente une analyse des masques chirurgicaux très inquiétante !
HOLD ON - A la minute 00:50:42 - Les masques chirurgicaux ont été mis au contact de la vapeur d'eau pour reproduire la respiration humaine puis ont été analysés au microscope : il existe des structures vivantes inconnues qui prolifèrent rapidement !
3/ Les enfants ne sont pas ou très peu transmetteurs de la covid-19 aux adultes !
Les enfants ne transmettent pas le virus ni entre-eux ni aux adultes, ce sont les adultes qui peuvent leur transmettre :
Cette étude robuste de haute qualité dans les Alpes françaises a examiné la propagation du virus Covid-19 via un cluster de Covid-19. Ils ont suivi un enfant infecté qui a visité trois écoles différentes et a interagi avec d'autres enfants, des enseignants et divers adultes. Ils n'ont signalé aucun cas de transmission secondaire malgré des interactions étroites. Ces données sont à la disposition du CDC et d'autres experts de la santé depuis plus d'un an.
Extrait de la conclusion :
Cette étude a été faite en Suède pendant la 1ère vague sur des enfants non masqués et dont aucun enfant atteint du covid-19 n'est décédé. Conclusion : le risque qu'un enfant soit malade du covid avec une forme grave (sans doute due à des comorbidités existantes) est de 0.000769% (15 enfants pour 1 950 000 !).
Ce sont les adultes qui peuvent les contaminer, ils n’ont peu ou pas de symptômes en cas d’infection et une mortalité nulle : le masque n’a donc encore une fois aucune justification ! Vidéo.
“ La proportion d’infection est très élevée (61.0%) chez les parents d’enfants infectés, alors qu’elle n’est que de 6.9% chez les parents d’enfants non infectés. Ceci permet de penser que les parents ont été la source de l’infection de leurs enfants dans de nombreux cas.”
“ C’est le cas de l’Angleterre, d’après un rapport de l’organisme Public Health England publié en août dernier : des clusters ont été détectés dans seulement 0,01% des établissements scolaires, et le point de départ était adulte dans 4 cas sur 5.
"Les infections au SRAS-CoV-2 se sont révélées rares. La majorité des cas d'infection chez les élèves sont liés au personnel", conclut le rapport.”
Une étude scientifique du 18 Aout 2021 démontre pourquoi ils ont une meilleure protection contre le covid-19.
4/ Du point de vue juridique
Le décret 2020-1310 du 29/10/20, article 36, partie II, 2ème et 5ème points dit : les enfants de six ans ou plus accueillis en application du II de l’article 32 doivent porter des masques. Ce décret entre en opposition morale avec le règlement type départemental des écoles maternelles et élémentaires publiques, circulaire 2014-088 du 09/07/14, partie 2.1 il est clairement stipulé que les élèves ne doivent pas subir de mauvais traitements, ni de châtiments corporels ni d’humiliations ce qui est le cas avec le masque au point du vue physique et psychologique, il est humiliant car contre la nature humaine. Dans ce bulletin officiel, il est également indiqué que le directeur d’école ne peut pas refuser l’accès à l’école d’un enfant entre 6 ans et 11 ans. (Courrier de réintégration des enfants pour les chefs d’établissement ici).
Le masque doit être installé sur nos voies respiratoires quelles que soient nos activités : Travailler, faire du sport, parler et même respirer avec un masque est gênant et constitue une atteinte à nos libertés essentielles.
Or, le droit administratif nous dit qu’une atteinte à nos libertés essentielles doit être justifiée (preuve d’efficacité), limitée et proportionnée, ce qui n’est pas le cas !
(lettre de Maître Brusa au chef de l'État sur ce lien).
L'obligation du port du masque est illégale du fait qu'aucune étude scientifique qui prouve l'efficacité de la mesure n'a été produite par le gouvernement.
Pour rappel aucun foyer de contamination n’a été constaté là où il y avait des enfants, même avant l’obligation du port du masque faite aux collégiens. Les scientifiques s’accordent à dire que les enfants ne sont pas en situation de risque par rapport au virus ni transmetteurs vers les adultes.
Ni l’article 36 du décret ni le protocole sanitaire associé ne prévoit de sanction en cas de non port du masque et donc pas d’amende possible. Ce protocole n’a aucune valeur de droit.
Par ailleurs, des sanctions importantes sont prévues par le droit général pour les parents ou pour toute personne représentant l’autorité commettant des actes de maltraitance sur les enfants de moins de 15 ans.
Plainte au pénal de Maître Brusa - Réaction19 - contre l'obligation du port du masque, PDF de 60 pages très documenté :
Maîtres Manna & Philippot dans cette vidéo indiquent :
Le conseil d’état a indiqué que les collégiens et les lycéens (qui sera valable pour les 6 ans et plus) ne sont pas tenus au port du masque en extérieur, c'est-à-dire pendant une activité physique ou du sport et pendant les récréations qui se déroulent à l'extérieur.
5/ Que recommande l’OMS ?
L’OMS a revu deux fois ses lignes directrices provisoires concernant le port du masque.
Les vérités acquises pendant des décennies sont soumises à la rude épreuve de la manipulation...
La conclusion en Janvier 2020 :
Puis au fur et à mesure du temps (voir les différentes publications en fin d’article) l’OMS a ajouté des éléments qui permettent de laisser penser qu’il peut y avoir un intérêt à porter le masque mais tout ceci reste au conditionnel et elle n’a cité aucune nouvelle étude scientifique qui démontre de façon irréfutable la preuve d’efficacité du masque.
La conclusion reste en Avril 2020 que ce n’est pas recommandé et l’OMS parle même de risques importants :
La conclusion en Janvier 2020 :
Puis au fur et à mesure du temps (voir les différentes publications en fin d’article) l’OMS a ajouté des éléments qui permettent de laisser penser qu’il peut y avoir un intérêt à porter le masque mais tout ceci reste au conditionnel et elle n’a cité aucune nouvelle étude scientifique qui démontre de façon irréfutable la preuve d’efficacité du masque.
La conclusion reste en Avril 2020 que ce n’est pas recommandé et l’OMS parle même de risques importants :
Pas de changement significatif en Août 2020 :
Par ailleurs, l’OMS n’a jamais recommandé non plus qu’il fallait privilégier tel ou tel masque, elle a même fait une recommandation selon laquelle les masques en tissu n’étaient pas moins efficaces même contre les nouveaux variants, ce qui est pour le moins cocasse puisqu’elle n’a jamais conclut à l’efficacité des masques quels qu’ils soient ! Lien
6/ Les études scientifiques qui démontrent l’inefficacité du masque.
Ce n'est pas une étude scientifique à proprement parlé mais cette maman l'a réalisé sur 1826 enfants, elle est donc pertinente ! L'étude
La conclusion devrait motiver les parents à remettre en question cette pratique moyenâgeuse et malveillante !
Cette étude du CDC Américain (équivalent du ministère de la santé) conclue comme les autres à l'inefficacité du masque mais pas seulement : les gestes barrière sont également inutile ! L'article contient le lien vers l'étude
Une des dernières études en date est disponible et entièrement traduite en Français sur ce lien : “Masques faciaux au temps du covid 19 : une hypothèse sanitaire” publiée publié en ligne le 22 Novembre 2020, et en Janvier 2021 dans la revue “Medical hypotheses” (doi: 10.1016 / j.mehy.2020.110411).
Cette étude constitue une remarquable synthèse sur le sujet des masques, étayée par 67 références et publications issues pour la plupart de revues et d’institutions prestigieuses et reconnues.
Cette étude qui par ailleurs rappelle qu’il n’y a pas de transmission par un sujet asymptomatique conclut à l'inefficacité et à la dangerosité des masques !
Voici les éléments clé :
Cette étude constitue une remarquable synthèse sur le sujet des masques, étayée par 67 références et publications issues pour la plupart de revues et d’institutions prestigieuses et reconnues.
Cette étude qui par ailleurs rappelle qu’il n’y a pas de transmission par un sujet asymptomatique conclut à l'inefficacité et à la dangerosité des masques !
Voici les éléments clé :
L’étude Danoise qui date de Novembre 2020 porte sur un essai contrôlé randomisé de 6000 personnes, voici sa conclusion :
Extrait des conclusions :
La conclusion est qu'aucune de ces études depuis 10 ans ne prouve l'efficacité des masques face à un virus.
Xiao, J et al. (2020) « Mesures non pharmaceutiques en cas de pandémie de grippe dans des contextes autres que ceux des soins de santé – Mesures de protection personnelle et environnementale », Emerg Infect Dis. 5 mai 2020;26(5):967-975 : « les résultats des essais contrôlés randomisés de ces mesures de protection (hygiène des mains et masques faciaux) n’ont pas permis de conclure à un effet substantiel sur la transmission de la grippe confirmée en laboratoire. De même, nous avons trouvé des preuves limitées de l’efficacité d’une meilleure hygiène et d’un meilleur nettoyage de l’environnement ».
Rancourt, DG (2020) « Les masques ne marchent pas : un examen de la science en rapport avec la politique sociale autour de la COVID-19 », ResearchGate, 11 avril 2020 (review).
Long, Y et al (2020) « Efficacité des respirateurs N95 par rapport aux masques chirurgicaux contre la grippe : une revue systématique et une méta-analyse », J Evid Based Med. 2020 ; 1 – 9 : « Aucune différence statistiquement significative n’a été constatée dans la prévention de la grippe confirmée en laboratoire, des infections virales respiratoires confirmées en laboratoire, des infections respiratoires confirmées en laboratoire et des maladies de type grippal en utilisant des respirateurs N95 et des masques chirurgicaux. »
Bartoszko, JJ et al (2020) « Masques médicaux vs respirateurs N95 pour prévenir la COVID19 chez les travailleurs de la santé : une revue systématique et une méta-analyse des essais Randomisés », Influenza Other Respir Viruses, 2020;14(4):365-373 : « Par rapport aux respirateurs N︎95 ︎, l’utilisation de masques médicaux n’a pas augmenté les infections respiratoires virales confirmées en laboratoire (y compris les coronavirus) ou les maladies respiratoires cliniques ».
Offeddu, V et al (2017) « Efficacité des masques et des respirateurs contre les infections respiratoires chez les travailleurs de la santé : Un examen systématique et méta- analyse », Clinical Infectious Diseases, Volume 65, Issue 11, 1er Décembre 2017, Pages 1934-1942 : « L’évaluation auto-déclarée des résultats cliniques était sujette à des biais. La preuve d’un effet protecteur des masques ou des respirateurs contre une infection respiratoire vérifiée ︎IRM︎ n’était pas statistiquement significative ».
Smith, JD et al (2016) « Efficacité des respirateurs N95 par rapport aux masques chirurgicaux dans la protection des travailleurs de la santé contre les infections respiratoires aiguës : revue systématique et méta-analyse », CMAJ, Mar 2016, cmaj.150835 : « Nous avons identifié 6 études cliniques … Dans la méta-analyse des études cliniques, nous n’avons pas trouvé de différence significative entre les respirateurs N︎︎95 et les masques chirurgicaux en ce qui concerne le risque associé ︎(a)︎ d’infection respiratoire confirmée en laboratoire, (︎b)︎ de maladie de type grippal, ou (︎c)︎ d’absentéisme au travail déclaré ».
Bin-Reza, F et al (2012) « L’utilisation de masques et de respirateurs pour prévenir la transmission de la grippe : une revue systématique des preuves scientifiques », Influenza and Other Respiratory Viruses 6(4), 257-267 : « Il y a eu 17 études admissibles. … Aucune de ces études n’a établi de relation concluante entre l’utilisation de masques et de respirateurs et la protection contre l’infection grippale ».
Cowling, B et al (2010) « Masques faciaux pour prévenir la transmission du virus de la grippe : une étude systématique », Epidemiology and Infection, 138(4), 449-456: « Aucune des études examinées n’a démontré un bénéfice du port d’un masque, que ce soit dans le cadre du travail de santé ou dans la communauté membres des ménages (H). Voir les tableaux récapitulatifs ».
Jacobs, JL et autres (2009) « Utilisation de masques chirurgicaux pour réduire l’incidence du rhume chez les professionnels de la santé (HCW) au Japon : Un essai contrôlé randomisé », American Journal of Infection Control, Volume 37, Issue 5, 417 – 419 : « Les travailleurs de la santé masqués N︎︎95 étaient significativement plus susceptibles d’avoir des maux de tête. Il n’a pas été démontré que l’utilisation de masques faciaux chez les HCW présentait des avantages en termes de symptômes du rhume ou de prise de froid ».
Dr Pascal Sacré, diplômé en médecine en Belgique depuis 1995, a entamé une spécialité en anesthésie réanimation en 1997, terminée en 2002 et complétée par une spécialisation en soins intensifs en 2003. Il travaille en milieu hospitalier depuis cette date. Pour ce praticien, l’air, une fois expiré, est réchauffé, humidifié et chargé de CO︎, devient un milieu de culture parfait pour les agents infectieux (bactéries, champignons, virus). Des études ont montré que la porosité (trous microscopiques) des masques permet aux germes expirés de s’accumuler sur leur face externe. Non seulement l’individu réinspire le CO2, mais en plus, en touchant tout le temps le masque (geste inévitable), les germes se diffusent.
Cette étude démontre que le masque n'est pas efficace contre un virus de la taille du covid-19. Extrait : Les masques chirurgicaux et faits à la main et les écrans faciaux génèrent plusieurs jets de fuite, y compris des jets intenses vers l'arrière et vers le bas qui peuvent présenter des dangers majeurs. Leur efficacité vers l'extérieur n'est pas établie.
Vidéo interview du Pr Rancourt sur les masques.
Professeur Dolores Cahill : les dangers des masques, vidéo
Lettre ouverte du Dr Zurcher aux parlementaires fédéraux Suisses, extrait :
1.6. Le port du masque hors de l’environnement chirurgical est manifestement malsain tant au niveau corporel que psychique (arythmie, problèmes de concentration et autres effets sur le cerveau, bactéries, virus et attaques fongique en augmentation). Il s’agit d’un matériel présentant un danger réel, avec des effets psychologiques et sociaux dommageables, dont le soi-disant effet protecteur est très éloigné des promesses officielles.
Les pneumonies bactériennes sont en augmentation à cause du port du masque : vidéo
France Soir : un chirurgien ORL alerte, extrait : « une bonne oxygénation du corps et du cerveau est très importante pour le développement physique, psychomoteur, intellectuel et émotionnel des jeunes enfants, et que cette oxygénation est principalement dépendante d’une bonne respiration nasale. »
Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance ! L’article
« Pas de preuve de son efficacité » : le gouvernement néerlandais n'impose pas le port du masque. La Suède, la Norvège, le Danemark et la Finlande refusent en effet eux aussi de généraliser l'obligation du port du masque et cantonnent son utilisation à de très rares exceptions. L’article.
Il est criminel d’obliger les enfants à porter des masques toute la journée. L’article
Cri d’alarme d’un pédiatre allemand : le port du masque à longueur de journée nuit fortement à la santé de nos enfants ! Vidéo
Des réactions biochimiques se produisent dans les poumons : des composés tels que le formaldéhyde (cancérigène) et autres COV apparaissent lors de la respiration d'une personne masquée. Vidéo
Etude universitaire sur les nano-fibres des masques... peut-être aussi dangereux que l'amiante ! Vidéo
Un chirurgien explique à quoi sert le masque au bloc opératoire " Le masque n'a jamais empêché une infection virale ". Vidéo
Les dentistes disent que le masque peut entraîner de graves complications pour la santé, y compris des accidents vasculaires cérébraux ! Andrew Mark Miller. L’article
Le Dr. Merritt sur les masques : vous savez que ce mensonge va s’effondrer ! Vidéo
Lise Nathanson, psychothérapeute dénonce la maltraitance caractérisée chez les enfants. Vidéo
Les répercussions psychologiques de la politique sanitaire actuelle sur les enfants et les adolescents. L’article
Des orthophonistes contre le port du masque à l’école, Midi Libre - l'article.
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France Soir : un chirurgien ORL alerte, extrait : « une bonne oxygénation du corps et du cerveau est très importante pour le développement physique, psychomoteur, intellectuel et émotionnel des jeunes enfants, et que cette oxygénation est principalement dépendante d’une bonne respiration nasale. »
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« Pas de preuve de son efficacité » : le gouvernement néerlandais n'impose pas le port du masque. La Suède, la Norvège, le Danemark et la Finlande refusent en effet eux aussi de généraliser l'obligation du port du masque et cantonnent son utilisation à de très rares exceptions. L’article.
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Les répercussions psychologiques de la politique sanitaire actuelle sur les enfants et les adolescents. L’article
Des orthophonistes contre le port du masque à l’école, Midi Libre - l'article.
Études et publications des professionnels de santé ou scientifiques concernant le port du masque dans ce document.
Manifeste des médecins "laissons les médecins prescrire"
COVID-19 en 10 points indiscutables, par le collectif laissons les médecins prescrire.
Existe-t-il des études scientifiques qui démontrent l’efficacité du masque ?
France info :
Voici le titre de l’article : une étude scientifique prouve l'efficacité des masques
À Hong-Kong, des chercheurs ont publié les résultats de leurs travaux réalisés sur des hamsters. Leurs conclusions démontrent que le port du masque est efficace.
Vous avez bien lu : des travaux réalisés sur des hamsters !!!
Une étude scientifique doit réaliser ses travaux sur des humains en condition réelle ou proche du réel non ?
Secondo, un masque a été placé entre deux cages de hamsters : on est loin d’un port de masque par un humain dont les fuites d’air se produisent à travers le masque mais surtout sur tous les côtés (voir la vraie étude scientifique étude n° 6/F)
Québec Science propose plusieurs études sous le titre : Efficacité du masque: ce que disent les récentes études.
Une méta analyse publiée sur le Lancet dont les résultats sont difficilement compréhensibles. Par ailleurs, le Lancet a publié l’étude dont tout le monde s’est accordé à dire qu’elle était frauduleuse sur la chloroquine, il est donc disqualifié...
INSPQ dont la conclusion dit : il manque de données scientifiques fiables pour juger de l’efficacité ou de l'inefficacité du couvre-visage dans la population générale.
Des économistes de l’Université Simon Fraser ont diffusé un article dans lequel ils comparent 34 régions sanitaires de l’Ontario : rien à voir avec une étude scientifique et pourtant le titre de l’article de Québec science est catégorique, il évoque des études (sous entendu scientifiques) !
7/ CONCLUSION
Efficace ou pas ? Pour prouver l’utilité de cette mesure comme on le fait de l’usage d’un médicament, il faudrait créer des groupes en "double aveugle", numériquement équilibrés, or ceci n’a jamais été fait et ne pourra jamais se faire…
En fait, le bon sens devrait suffire à trancher cette question : les masques sont largement portés par la population en France depuis Mai 2020, si cette mesure était efficace la preuve de son efficacité aurait dû être constatée en deux ou trois semaines grand maximum, y compris sur les fameux variants : il n’y aurait plus que de très rares cas de malades covid-19 !
C’est la preuve par l’observation…
Ce premier graphique montre que l’obligation du port du masque a été faite au moment où les nouveaux cas étaient au plus bas et que cette mesure n’a pas permis d’enrayer l’augmentation du nombre de cas !
Le deuxième graphique démontre que les pays qui ont obligé au port du masque ont de moins bons résultats que ceux qui ne l’ont pas fait, c’est une deuxième preuve qu'à minima les masques ne fonctionnent pas !
Ce nouveau comparatif entre deux Etats en Amérique du nord, l'un a maintenu l'obligation du port du masque et l'autre non, au final c'est kif kif !
Personne n’a répondu à cette question de la balance bénéfices/risques alors que les risques sont bien trop importants par rapport à des bénéfices qui semblent être inexistants !
D’autres questions demeurent sans réponse : pourquoi le masque n'a-t-il pas été utilisé tous les ans lors des épidémies de grippe ou lors des épidémies précédentes ? Il faut remonter à 100 ans en arrière pour constater que le masque avait été imposé lors de la grippe Espagnole…
D’autres questions demeurent sans réponse : pourquoi le masque n'a-t-il pas été utilisé tous les ans lors des épidémies de grippe ou lors des épidémies précédentes ? Il faut remonter à 100 ans en arrière pour constater que le masque avait été imposé lors de la grippe Espagnole…
La science aurait-elle fait un bon de 100 ans en arrière ou y a-t-il des raisons occultes de nous malmener par cette énorme contrainte ?
Et en plus ça les fait rire !
Ci-dessous l'école aux Philippines, chaque pays choisi la façon de martyriser les enfants !
Tout comme les confinements il s'agit en réalité d'une mesure d'ingénierie sociale (manipulation mentale et physique) pour nous faire accepter ce que nous n'aurions jamais accepté : les vaccins expérimentaux et la dictature !
8/ Les recommandations de l’OMS (versions intégrales).
